Dès l’heure de midi le
parcours de cette procession est bordé de spectateurs dont le nombre se grossit
à tout moment de ceux accourus des bourgs et des villes voisines. À deux heures, la procession s’ébranle. Elle n’est
pas comme à l’ordinaire organisée sur deux lignes, mais formée de groupes
compacts des délégués encadrant leur bannière, groupes régulièrement espacés,
s’avançant lentement dans un ordre parfait, au chant enthousiaste des
cantiques. (DM,
1932)
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