Deux semaines après, je lui expédiais non pas
une fragile bouture sujette aux risques d’une végétation incertaine, mais un
robuste plant cultivé avec tendresse par les religieuses de l’Asile Notre-Dame.
Le curé me remercia en des termes où débordait sa jubilation. Le mois suivant,
il m’annonçait : « Notre cher églantier est en pleine
croissance ; des feuilles vigoureuses se multiplient sur la tige :
nous espérons bientôt des fleurs » (R. Gaëll, 1946).
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