À sa suite, vers l’étoile qui demeure seule
resplendissante au fond de l’obscurité qui les éteint et les affole, les
nations se remettent en marche. Et c’est pour avoir retrouvé sa lumière au sein
des ténèbres qu’elles s’apprêtent à étouffer les plaintes déchirantes de
l’horreur et de la mort sous la clameur triomphale de l’éternel Ave Maria (R. Gaëll, 1946).
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire