Et puis, en songeant aux millions de victimes
sur qui s’est penchée un jour notre pitié attendrie, on pourra répéter ce que
disait le poète déplorant avec amertume la cruelle inconstance des regrets
humains : « …Les morts durent bien peu… Hélas ! En leur
cercueil, ils tombent en poussière moins vite qu’en nos cœurs… » (R.
Gaëll, 1946).
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