samedi 5 août 2017

À celui qui exige un miracle (15)


Mais nous n’avons pas besoin  qu’elle nous offre une preuve nouvelle de sa bonté pour accroître notre confiance en Elle et faire monter de nos cœurs à nos lèvres le Magnificat d’une reconnaissance éperdue. Le miracle ? Mais nous en sommes, à toute heure, enveloppés, pénétrés, éblouis dans ce « paradis de la terre » où la clarté céleste ne cesse d’illuminer nos âmes transfigurées (R. Gaëll, 1946).

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