Mais nous n’avons pas
besoin qu’elle nous offre une preuve
nouvelle de sa bonté pour accroître notre confiance en Elle et faire monter de
nos cœurs à nos lèvres le Magnificat
d’une reconnaissance éperdue. Le miracle ? Mais nous en sommes, à toute
heure, enveloppés, pénétrés, éblouis dans ce « paradis de la terre »
où la clarté céleste ne cesse d’illuminer nos âmes transfigurées (R.
Gaëll, 1946).
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