Encouragés par ces premiers
succès, ils imaginèrent de faire encore davantage. Les locaux de fortune
installés à la gare étaient insuffisants à recevoir et à secourir tant de
misères. Les hospitaliers de Lourdes, avec une prodigieuse audace inspirée par
leur inlassable charité, recommencèrent à tendre la main rappelant à tous le
devoir fraternel de donner un gîte et du pain à ceux qui avaient tout perdu (R.
Gaëll, 1945).
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