Et je ne saurais mieux traduire
ce noble sentiment de l’entraide aux malheureux, inspiré, entretenu, sans cesse
ranimé par notre Vierge, dans leur âme éprise de dévouement et de sacrifice,
qu’en citant ce mot d’un hospitalier : « Quand je reviens de Lourdes,
je me sens un désir irrésistible de me dépenser à plein cœur pour ceux qui
souffrent » (R. Gaëll, 1945).
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