Verbum caro. L’union intime, personnelle et
indissoluble de ces deux réalités, de ces deux extrêmes, le Verbe de Dieu et la
chair humaine, c’est le grand mystère chrétien. Il sollicite jusqu’à la fin des
siècles le regard, l’admiration, l’amour des croyants. Pour les âmes
contemplatives, après la Sainte Trinité, aucun thème d’oraison n’est comparable
à celui-ci. On comprend le mot de Bérulle : « Après l’Incarnation, il
ne faut plus rien admirer » (Mgr Pierre-Marie
Théas, 25 mars 1952, à Lourdes).
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