L’unique pièce de
rez-de-chaussée où les Soubirous – parents et enfants – vivent nuit et jour, est un
logement de misère qui jamais voit le soleil. À
longueur d’année, on y souffre de la faim et, pendant l’hiver, du froid.
François Soubirous se prive de manger pour nourrir ses enfants. Quand il n’est
pas embauché, il reste au lit pour supporter en silence la faim qui le
tenaille. (Mgr Pierre-Marie Théas, 1953)
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