Pendant ces heures
interminables de la nuit que le sommeil s’obstine à fuir, unissons-nous à ces
saints religieux qui, en ce moment, prient Dieu pour ceux qui l’oublient, pour
ceux qui, avant l’aurore, peut-être, paraîtront devant le saint tribunal. Cette
heure douloureuse qui sonne, découpée dans le grand manteau des siècles, ne la
laissons pas fuir, elle nous appartient. Puissions-nous l’estimer à sa valeur. (Auteur
anonyme, 1954)
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