Les enfants accrochés à la
main, à la robe maternelle, ne sommes-nous pas cela, à Lourdes, avec toute la
simplicité, la naïveté, l’importunité et la turbulence que cette idée
éveille ? Le soir, surtout – heure à laquelle nous allumons notre flambeau
comme pour chercher la grâce – le soir, le long des rampes du Rosaire, à
travers les allées de l’Esplanade, où nous décrivons ces circuits interminables,
quel sublime chant unanime que celui mille et mille fois répété, de l’Ave, ave,
ave Maria ! (Un pèlerin)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire