J’ai donc emporté de Lourdes, avant tout, les délices
d’un recueillement contemplatif qu’ailleurs j’eusse éprouvé moins durablement.
Est-à-dire que je veuille négliger la source miraculeuse, les guérisons sans
nombre, l’attente héroïque des malades, la liturgie véhémente des processions
où les peuples chrétiens peuvent s’unir dans une seule supplication et chanter
le même Magnificat ? (Émile BAUMANN)
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