Voilà l’un des grands côtés
de Lourdes. On s’y meut dans l’invisible. La pitié de Dieu apparaît tellement
infinie, on l’a senti si prêt dans chaque prière que si les mains bienfaisantes
ne se lèvent pas pour commander au mal, on sait, on sent qu’elles se posent sur
l’âme en une bénédiction plus intime et meilleure.
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