Lourdes, c’est avant
tout, n’est-ce pas, la grotte ; et nous nous hâtons vers les bords du
Gave, comme des enfants pressés de revoir leur Mère. Ici, plus rien que l’eau,
le rocher, le ciel encadrant pour les présenter à Marie les souffrances des
malades et des infirmes, les prières des pèlerins. Sommes-nous encore sur la
terre en ce refuge de divine pitié, de charité sereine où les grâces ne cessent
de jaillir ?
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