L’air que nous respirons est intoxiqué. Ce qui
se dit, ce qui se lit, ce qui se voit, les conversations, les lectures, le
journal, les revues, la radio et la télévision, le cinéma, le mouvement de la
rue, la ville, la plage véhiculent des foyers microbiens de matérialisme,
d’égoïsme, de scepticisme contre lesquels les organismes les plus résistants ne
sont pas définitivement immunisés.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire