mardi 17 mai 2016

Pèlerin des Vosges (121)


Quant aux infirmières, c’est un monde si discret qu’il est moins discuté, certes, que celui des brancardiers, parce qu’il est à peu près complètement méconnu. Pour le connaître, il faut fréquenter l’Asile, voir ces femmes et ces jeunes filles passer leurs journées et leurs nuits au chevet des malades, attentives au moindre de leurs désirs, les lavant, les habillant, les faisant manger, et matérialisant par leur gentillesse souriante, leur disponibilité sans reprise, la vigilance et la tendresse maternelles de Marie.

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