Et, sans doute, il faut guider cette prière, éviter
qu’elle ne s’égare dans une espérance trop humaine, qu’elle ne réclame trop
exclusivement la guérison de ces corps douloureux et n’attende surtout, avec
une sorte de malsaine curiosité, le piment du miracle, au lieu de venir ici chercher
la leçon du Mystère de la Souffrance, et demander pardon, non seulement à Dieu,
mais également à ces invités à l’Agonie, à ces coopérateurs de la Rédemption en
Jésus crucifié.
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