« Nous savons en effet que, présentement encore,
la création toute entière gémit dans les douleurs de l’enfantement. Elle n’est
pas seule. Nous aussi, qui possédons les prémices de l’Esprit, nous gémissons
en nous-mêmes dans l’attente de l’adoption, de l’adoption, de la rédemption de
notre corps. Car ce n’est qu’en espérance que nous avons été sauvés. Or, voir
ce qu’on espère, ce n’est plus espérer ; ce que l’on voit, comment encore
l’espérer ? Mais si nous espérons ce que nous ne voyons pas, nous l’attendons
dans la patience » (Rm 8, 15-25).
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