jeudi 10 mars 2016

Pèlerin des Vosges (64)


« Nous savons en effet que, présentement encore, la création toute entière gémit dans les douleurs de l’enfantement. Elle n’est pas seule. Nous aussi, qui possédons les prémices de l’Esprit, nous gémissons en nous-mêmes dans l’attente de l’adoption, de l’adoption, de la rédemption de notre corps. Car ce n’est qu’en espérance que nous avons été sauvés. Or, voir ce qu’on espère, ce n’est plus espérer ; ce que l’on voit, comment encore l’espérer ? Mais si nous espérons ce que nous ne voyons pas, nous l’attendons dans la patience » (Rm 8, 15-25).

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