La parabole du fils aîné
qui accuse son père d’avoir fait miséricorde à son frère, le fils cadet, est
poignante. Les retrouvailles du fils perdu avec son père son tellement belles,
que l’attitude du grand frère fait mal. Son regard est enténébré, il ne voit pas
la beauté. En faisant remarquer : « Quand le Bon Dieu le permet, on
ne se plaint pas », Bernadette invite à vivre nos relations à partir du
regard de Dieu et non pas en se basant sur nos a priori. C’est bien ce que font
le père et son fils cadet. Pour leur plus grande joie et celle du Bon Dieu.
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