Et combien d’autres trains étaient en route, ne
cessent chaque été de se mettre en route, à travers la France, à travers
l’Europe, à travers le monde, pour converger vers cette bourgade pyrénéenne
totalement inconnue il y a un siècle ? « Je veux qu’on y vienne en
procession » a dit la céleste Dame qui apparaissait là-bas à Bernadette.
Et le monde entier s’est ébranlé, s’ébranle chaque année davantage, et n’est
pas près d’envoyer une humanité en détresse battre ce Rocher du flux et du
reflux de ces prières et de ses souffrances et de ses espoirs.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire