Nosloc sentit que ses réflexions devenaient amères. Il
rejoignit le médecin du pèlerinage. Mais, immédiatement, il fut question
d’exigences techniques à propos d’un article du Docteur Lhermite sur les
guérisons miraculeuses. Le théologien qu’il était n’avait jamais de peine à
sympathiser avec ce monde de techniciens, car la théologie positive est
elle-même une très rigoureuse technique, avec ses exigences historiques et
textuelles, n’en déplaise à ceux qui croit qu’on se contente encore, en
théologie, de « poésie » et de « mystique » synonymes, dans
leurs bouches, d’élucubrations nuageuses.
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