Mais déjà le train s’ébranlait. Et les larmes, ou les
sourires, qui illuminaient les yeux des malades, et ce soleil qui maintenant
faisait flamber la Champagne traversée lui firent vite oublier toute
mesquinerie. On était en route vers là « où souffle l’Esprit ». Et
c’est vers Lui que désormais se tendaient tous les esprits, les imaginations et
les cœurs.
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