mardi 22 décembre 2015

Homélie pour Noël 1968 (2)


Première réflexion : l’homme est puissant. Fidèles à Vatican II, nous admirons l’homme : son génie, sa puissance, ses découvertes dans le domaine scientifique et technique. Nous sommes émerveillés du résultat extraordinaire qu’obtient un travail sérieux, persévérant et concerté de milliers de savants et de techniciens qui ont su harmoniser leurs recherches et se soumettre à une discipline exigeante. D’une manière saisissante, l’homme, de plus en plus, se révèle le roi de cette création que Dieu lui a confiée avec mission d’en découvrir les richesses, de la dominer, de l’exploiter pour le service de l’homme et la gloire du Créateur. Car toutes les découvertes, même les plus extraordinaires, seraient inutiles si elles n’amélioraient pas la condition humaine, encore si imparfaite, surtout en certaines régions, et si elles ne permettaient aux hommes de mieux réaliser le but de leur vie : l’union à Dieu et l’union de tous en Dieu. (Mgr Pierre-Marie Théas)

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire