Beaucoup y retournent chaque
année. L’attrait, paraît-il est irrésistible. Des familles riches ne voudraient
pas manquer cette courte villégiature ; de pauvres gens épargnent pour se
payer ce plaisir. C’est ainsi que, sur le quai de la gare, les partants se
saluaient comme de vieilles connaissances : ils se rencontrent
régulièrement, aux mêmes trains, depuis dix ou quinze ans.
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