« Non, jamais je
n’oublierai ce jour-là », s’écria-t-il en frissonnant de terreur. «
Oh ! Ce maudit jour que le 23 août 1867 ! C’était dans le bois des
Abelles, non loin de la ville de R. » Ce fut pour le prêtre tout une
révélation. Il avait, en effet, trouvé son cher petit chapelet à cette même
date et à ce même endroit, son petit chapelet qu’il gardait comme une relique
et auquel il croyait devoir sa sainte vocation. (G. du Bouyssou, 1910)
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