« Écoutez », continue l’autre. « Il y a des
années, j’avais une grande dévotion au chapelet. Chaque soir, je le récitai
avec mon père et ma mère. Mon père vint à mourir et, comme d’autres, je me mis
à fréquenter de mauvais camarades. Je ne tardai pas à abandonner toutes mes
pratiques de religion. Ma pauvre mère désolée essaya l’impossible pour me
ramener à de meilleurs sentiments. Tout fut inutile. J’allai de mal en pis et
je quittai mon village pour aller errer dans le monde. (G. du Bouyssou, 1910)
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