lundi 26 octobre 2015

Chapelet perdu et retrouvé (13)


Le lendemain, le malade reçut son Sauveur dans la sainte communion. Des larmes de paix et de bonheur coulaient le long de ses joues décolorées. Il serrait entre ses mains le chapelet si providentiellement retrouvé. « Il me semble », dit-il au prêtre, « que ce sont les mains de la Sainte Vierge que je presse entre les miennes. Je sens qu’elle m’attire vers ce beau ciel, que j’ai failli perdre pour toujours ! Je n’ose regarder en arrière où tout me paraît si sombre ! Mais, avec le secours de Marie, ma miséricordieuse Mère céleste, je ne crains rien, car elle ne me laissera pas sombrer. » (G. du Bouyssou, 1910)

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