Excellences, Messeigneurs,
Mes bien chers frères, Veuillez, pour quelques instants, ne point songer à vous-mêmes,
ni à vos souffrances, ni à vos joies, ni à vos travaux, ni à vos projets, ni à
votre pèlerinage. Veuillez, pour quelques instants, oublier les autres :
vos parents, vos enfants, vos amis, le personnel de vos usines ou de vos
bureaux, concitoyens. Veuillez, pour quelques instants, vous rendre étrangers à
la terre, au monde et à vous-même. (Homélie de l’évêque de Tarbes et Lourdes,
Mgr Pierre-Marie Théas, donnée à Lourdes, le 15 août 1950)
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