Plus que tout autre,
Bernadette s’associe, dans la prière et la souffrance, à la divine
Co-Rédemptrice. Au milieu de ses crises les plus douloureuses, on l’entendait
s’encourager à la patience : « C’est pour le gros pécheur. »
« Où est-il le gros pécheur ? » « Oh ! La Sainte
Vierge le connaît bien. » Au témoignage de l’abbé Febvre, aumônier de
Saint-Gildard, Sœur Marie-Bernard vivait à al maison-mère les enseignements de
Lourdes : faire pénitence, prier, se mortifier, souffrir pour les
pécheurs. (Sainte Bernadette, le chef d’œuvre de l’Immaculée, Lettre pastorale
de Mgr Pierre-Marie Théas, évêque de Tarbes et Lourdes, 18 février 1954)
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