La voyante est
soumise à « la nuit de
l’esprit », dont parle saint Jean de la Croix. « C’est bien
douloureux de ne pouvoir respirer, mais c’est bien plus pénible d’être torturée
par des peines intérieures. C’est terrible ! » Son peu d’amour lui
est une angoisse. Elle est tentée de découragement. Elle supplie qu’on prie
pour elle, « pour sa pauvre âme. » (Sainte Bernadette, le chef
d’œuvre de l’Immaculée, Lettre pastorale de Mgr Pierre-Marie Théas, évêque de
Tarbes et Lourdes, 18 février 1954)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire