Les derniers mois de sa
vie sont particulièrement douloureux et sanctifiés. « Quand on est au lit,
disait-elle, il faut rester immobile et se considérer comme Jésus sur la
croix. » Elle aime la volonté de Dieu qui la retient à l’infirmerie,
qu’elle appelle sa chapelle blanche : « Je suis plus heureuse sur mon
lit avec mon crucifix, qu’une reine sur son trône. » D’atroces
suffocations torturent son corps à vif, ne reposant que sur des plaies :
« Je suis moulue comme un grain de blé. » Qu’on demande pour elle non
des consolations, mais « la force et la patience. » (Sainte Bernadette, le chef d’œuvre de l’Immaculée, Lettre pastorale
de Mgr Pierre-Marie Théas, évêque de Tarbes et Lourdes, 18 février 1954)
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