Toute enfant, Bernadette
fût fiancée à la souffrance. Elle lui restera fidèle. L’asthme qui la surprit à
l’âge de six ans la torturera jusqu’à sa mort. Dès les premières semaines de
son noviciat, elle commence « son emploi » de malade. Dans le cours
de sa brève existence, elle reçoit quatre fois l’Extrême-Onction. Elle ne passe
pas un seul jour sans souffrir. (Sainte Bernadette, le chef d’œuvre de
l’Immaculée, Lettre pastorale de Mgr Pierre-Marie Théas, évêque de Tarbes et
Lourdes, 18 février 1954)
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