Pour la voyante de
Massabielle, cachée sous le voile de Nevers, plus de ravissements, plus
d’extases. Aucune auréole n’éclaire son visage. Sous l’action de Notre Dame,
elle a un besoin constant d’effacement total et d’aveu de sa misère. Elle dira,
sur son lit de mourante : « Je demande pardon à mes compagnes de mes
mauvais exemples et surtout de mon orgueil. » Mais aux heures pénibles,
elle trouve, dans sa mémoire, le sourire de la Vision et, dans son cœur, la
douce présence de l’Immaculée. (Sainte Bernadette, le chef d’œuvre de
l’Immaculée, Lettre pastorale de Mgr Pierre-Marie Théas, évêque de Tarbes et
Lourdes, 18 février 1954)
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