Un jour, le Procureur
Impérial parle d’incarcération. Louise Soubirous, terrorisée, fond en larmes.
Bernadette, remplie de la force d’En-Haut, se contente de cette
réflexion : « Pourquoi pleurer, nous n’avons fait de mal à
personne ? » Une autre fois, devant une semblable menace, l’enfant
dit à sa mère : « Ne pleurez pas, la Sainte Vierge nous
défendra. » (Sainte Bernadette, le chef d’œuvre de l’Immaculée, Lettre
pastorale de Mgr Pierre-Marie Théas, évêque de Tarbes et Lourdes, 18 février
1954)
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