À Nevers, Sœur Marie-Bernard dira un jour :
« Que je suis contente ! M. l’Aumônier a dit que lorsqu’on ne veut
pas faire le péché, on n’en fait point. Donc je n’en ai jamais commis. »
Cette joie ne dure pas. Elle se sent accablée par les fautes qui échappent à sa
faiblesse : « Que j’en ai des péchés ! » avoue-t-elle.
Avant de mourir, elle dira : « Priez pour moi, pauvre pécheresse…
pauvre pécheresse. » Donc jamais une faute volontaire ! (Sainte
Bernadette, le chef d’œuvre de l’Immaculée, Lettre pastorale de Mgr
Pierre-Marie Théas, évêque de Tarbes et Lourdes, 18 février 1954)
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