Par dessus tout, Notre Dame
assure à Bernadette une famille où Dieu est premier servi. Saluons bien bas,
quoiqu’on ait pu dire, ces parents chrétiens, courageux au travail, héroïques
dans leur misère. À leur foyer, souvent sans
pain et sans feu, tout manquait excepté une foi inébranlable. Le Crucifix
accroché au centre d’un gros chapelet donnait à cette misère imméritée son sens
chrétien. Dieu était le maître de cette indigence et c’est à lui que la famille
réunie pour la prière du soir demandait un pain qui était loin d’être
quotidien. (Sainte Bernadette, le chef d’œuvre de l’Immaculée, Lettre pastorale
de Mgr Pierre-Marie Théas, évêque de Tarbes et Lourdes, 18 février 1954)
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