Extrait d’une lettre pastorale écrite en 1958 par Mgr
Mathieu à ses diocésains d’Aire et Dax : « Entre l’âme prédestinée et
le Christ, Marie ne s’interpose pas comme un trait de séparation, mais comme un
trait d’union indispensable ‘pour trouver Jésus parfaitement, pour l’aimer
tendrement et le servir fidèlement’. Marie repousserait des hommages qui
s’arrêteraient à elle : ‘Si la Sainte Vierge éloignait de Jésus Christ, il
faudrait la rejeter comme une illusion du diable’. Comment la Vierge
accomplit-elle son œuvre rédemptrice ou sa fonction médiatrice ? En
conduisant le pèlerin à Jésus qui pardonne, à Jésus qui se donne, à Jésus qui
se cache. »
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